Gurgen Simonyan, fondateur du « Parti Méritocrate d'Arménie », a exprimé son soutien à la proposition de résolution portée par le député Nicolas Metzdorf et d'autres parlementaires, visant à condamner les ingérences de l'Azerbaïdjan à travers le groupe « Initiative Bakou » en Nouvelle-Calédonie. Simonyan a qualifié ces actes de violation inacceptable du droit international et a réaffirmé son soutien au peuple français dans cette lutte, soulignant que ces ingérences sont liées à la solidarité de la France envers l'Arménie.
Simonyan a également rappelé la mémoire de Gurgen Margaryan, un militaire arménien assassiné dans son sommeil en 2004 à Budapest par un soldat azerbaïdjanais qui sera reconnu « héros national » par l’Azerbaïdjan.
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dimanche 2 février 2025
Gurgen Simonyan, fondateur du « Parti Méritocrate d'Arménie », a exprimé son soutien à la proposition de résolution portée par le député Nicolas Metzdorf et d'autres parlementaires, visant à condamner les ingérences de l'Azerbaïdjan à travers le groupe « Initiative Bakou » en Nouvelle-Calédonie. Simonyan a qualifié ces actes de violation inacceptable du droit international et a réaffirmé son soutien au peuple français dans cette lutte, soulignant que ces ingérences sont liées à la solidarité de la France envers l'Arménie. Simonyan a également rappelé la mémoire de Gurgen Margaryan, un militaire arménien assassiné dans son sommeil en 2004 à Budapest par un soldat azerbaïdjanais qui sera reconnu « héros national » par l’Azerbaïdjan. https://www.facebook.com/share/p/18Y7fpUnd5/?mibextid=wwXIfr
“Solidarité et fermeté face aux ingérences de l’Azerbaïdjan : Une déclaration en soutien à la France ” Par Gurgen Simonyan 🇫🇷 DÉCLARATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE En raison du soutien de la France envers la République d'Arménie et des liens étroits qui unissent les deux pays, les territoires d'outre-mer, notamment la Nouvelle-Calédonie, sont devenus la cible d'attaques et d'ingérences de la part de l'Azerbaïdjan. Ces actions doivent être fermement condamnées et sanctionnées, car elles portent atteinte aux règles du droit international. Cette tentative d'affaiblissement de la France s'inscrit dans une stratégie plus large, visant à poursuivre le plan russo-turc de génocide arménien, commencé au XXe siècle et qui se prolonge au XXIe siècle, en particulier en Artsakh. Dans la proposition de résolution visant à condamner l'Azerbaïdjan et le « groupe d'initiative Bakou » pour leurs ingérences en Nouvelle-Calédonie et dans d'autres territoires d'outre-mer, portée par le député Nicolas Metzdorf, Gabriel Attal et plusieurs autres parlementaires, il est clairement indiqué que les agissements de l'Azerbaïdjan s'inscrivent dans un contexte de tensions entre la France et l'Azerbaïdjan, en raison du soutien français à la République d'Arménie, notamment dans le conflit du Haut-Karabakh. Il est déplorable de constater qu'à la suite des émeutes du 13 mai 2024, deux policiers ont perdu la vie, portant le bilan à dix morts. L'enquête sur ces crimes remonte jusqu'à Bakou. Le peuple arménien connaît bien les méthodes du régime criminel de Bakou, qui agit dans l'ombre, comme en 2004 à Budapest lors des exercices de "partenariat pour la paix" dirigés par l'OTAN, où le militaire Arménien Gurgen Margaryan a été assassiné dans son sommeil par Ramil Safarov, qui a ensuite été extradé vers l'Azerbaïdjan par le gouvernement hongrois et célébré comme un héros national en Azerbaïdjan. Le chef de l'État reflète cette image de héros. Le régime autoritaire d’Azerbaïdjan s'efforce d'orchestrer de telles provocations néfastes à travers le monde. En ce qui concerne la France, qui est un ami de l'Arménie, il mène en réalité une guerre hybride, en engageant simultanément des campagnes de désinformation et d'influence psychologique contre l'Arménie et les pays qui la soutiennent. Dans ce contexte, je tiens à exprimer mon soutien et ma solidarité envers le peuple français et la France, amie de la République d'Arménie, représentée par le président Emmanuel Macron, en souhaitant un retour rapide à la stabilité. Vive la France, Vive l'Arménie, Vive l'amitié entre l'Arménie et la France. Gurgen SIMONYAN Politicien, leader du groupe d'initiative du Parti Meritocrate d'Arménie, docteur en sciences politiques Erevan 02.02.2025
“Solidarité et fermeté face aux ingérences de l’Azerbaïdjan : Une déclaration en soutien à la France ” Par Gurgen Simonyan
🇫🇷
DÉCLARATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE
En raison du soutien de la France envers la République d'Arménie et des liens étroits qui unissent les deux pays, les territoires d'outre-mer, notamment la Nouvelle-Calédonie, sont devenus la cible d'attaques et d'ingérences de la part de l'Azerbaïdjan. Ces actions doivent être fermement condamnées et sanctionnées, car elles portent atteinte aux règles du droit international.
Cette tentative d'affaiblissement de la France s'inscrit dans une stratégie plus large, visant à poursuivre le plan russo-turc de génocide arménien, commencé au XXe siècle et qui se prolonge au XXIe siècle, en particulier en Artsakh.
Dans la proposition de résolution visant à condamner l'Azerbaïdjan et le « groupe d'initiative Bakou » pour leurs ingérences en Nouvelle-Calédonie et dans d'autres territoires d'outre-mer, portée par le député Nicolas Metzdorf, Gabriel Attal et plusieurs autres parlementaires, il est clairement indiqué que les agissements de l'Azerbaïdjan s'inscrivent dans un contexte de tensions entre la France et l'Azerbaïdjan, en raison du soutien français à la République d'Arménie, notamment dans le conflit du Haut-Karabakh.
Il est déplorable de constater qu'à la suite des émeutes du 13 mai 2024, deux policiers ont perdu la vie, portant le bilan à dix morts. L'enquête sur ces crimes remonte jusqu'à Bakou.
Le peuple arménien connaît bien les méthodes du régime criminel de Bakou, qui agit dans l'ombre, comme en 2004 à Budapest lors des exercices de "partenariat pour la paix" dirigés par l'OTAN, où le militaire Arménien Gurgen Margaryan a été assassiné dans son sommeil par Ramil Safarov, qui a ensuite été extradé vers l'Azerbaïdjan par le gouvernement hongrois et célébré comme un héros national en Azerbaïdjan. Le chef de l'État reflète cette image de héros.
Le régime autoritaire d’Azerbaïdjan s'efforce d'orchestrer de telles provocations néfastes à travers le monde. En ce qui concerne la France, qui est un ami de l'Arménie, il mène en réalité une guerre hybride, en engageant simultanément des campagnes de désinformation et d'influence psychologique contre l'Arménie et les pays qui la soutiennent.
Dans ce contexte, je tiens à exprimer mon soutien et ma solidarité envers le peuple français et la France, amie de la République d'Arménie, représentée par le président Emmanuel Macron, en souhaitant un retour rapide à la stabilité.
Vive la France,
Vive l'Arménie,
Vive l'amitié entre l'Arménie et la France.
Gurgen SIMONYAN
Politicien, leader du groupe d'initiative du Parti Meritocrate d'Arménie,
docteur en sciences politiques
Erevan
02.02.2025
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🇫🇷
DÉCLARATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE
En raison du soutien de la France envers la République d'Arménie et des liens étroits qui unissent les deux pays, les territoires d'outre-mer, notamment la Nouvelle-Calédonie, sont devenus la cible d'attaques et d'ingérences de la part de l'Azerbaïdjan. Ces actions doivent être fermement condamnées et sanctionnées, car elles portent atteinte aux règles du droit international.
Cette tentative d'affaiblissement de la France s'inscrit dans une stratégie plus large, visant à poursuivre le plan russo-turc de génocide arménien, commencé au XXe siècle et qui se prolonge au XXIe siècle, en particulier en Artsakh.
Dans la proposition de résolution visant à condamner l'Azerbaïdjan et le « groupe d'initiative Bakou » pour leurs ingérences en Nouvelle-Calédonie et dans d'autres territoires d'outre-mer, portée par le député Nicolas Metzdorf, Gabriel Attal et plusieurs autres parlementaires, il est clairement indiqué que les agissements de l'Azerbaïdjan s'inscrivent dans un contexte de tensions entre la France et l'Azerbaïdjan, en raison du soutien français à la République d'Arménie, notamment dans le conflit du Haut-Karabakh.
Il est déplorable de constater qu'à la suite des émeutes du 13 mai 2024, deux policiers ont perdu la vie, portant le bilan à dix morts. L'enquête sur ces crimes remonte jusqu'à Bakou.
Le peuple arménien connaît bien les méthodes du régime criminel de Bakou, qui agit dans l'ombre, comme en 2004 à Budapest lors des exercices de "partenariat pour la paix" dirigés par l'OTAN, où le militaire Arménien Gurgen Margaryan a été assassiné dans son sommeil par Ramil Safarov, qui a ensuite été extradé vers l'Azerbaïdjan par le gouvernement hongrois et célébré comme un héros national en Azerbaïdjan. Le chef de l'État reflète cette image de héros.
Le régime autoritaire d’Azerbaïdjan s'efforce d'orchestrer de telles provocations néfastes à travers le monde. En ce qui concerne la France, qui est un ami de l'Arménie, il mène en réalité une guerre hybride, en engageant simultanément des campagnes de désinformation et d'influence psychologique contre l'Arménie et les pays qui la soutiennent.
Dans ce contexte, je tiens à exprimer mon soutien et ma solidarité envers le peuple français et la France, amie de la République d'Arménie, représentée par le président Emmanuel Macron, en souhaitant un retour rapide à la stabilité.
Vive la France,
Vive l'Arménie,
Vive l'amitié entre l'Arménie et la France.
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Politicien, leader du groupe d'initiative du Parti Meritocrate d'Arménie,
docteur en sciences politiques
Erevan
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Bilan de 2024 et Perspectives pour 2025 : L’Arménie entre Sécurité, Développement et Souveraineté Par Anahit Adamyan, membre du conseil politique du parti “République” Même en 2024, l’économie est restée le talon d’Achille du pays Anahit Adamyan L’interlocutrice de Radar Armenia est Anahit Adamyan, membre du conseil politique du parti “République”. - Comment évaluez-vous l’année écoulée 2024 pour l’Arménie ? Quel a été, selon vous, l’accomplissement le plus important de cette année et la plus grande omission ? Anahit Adamyan : L’année 2024 a été difficile et controversée à l’échelle mondiale. Malheureusement, les anciennes guerres ont continué, et de nouvelles ont émergé au Moyen-Orient. La paix, en tant que condition préalable à la prospérité, n’a toujours pas de perception mondiale. Pour l’Arménie, 2024 a été une année de paix, ce qui est le plus important, mais la région reste dans un état de “ni paix ni guerre”, ce qui nous oblige à garantir la sécurité avant tout. La sécurité est un système dont les composants sont égaux, importants, vitaux et complémentaires. En 2024, le ministère de la Défense a enfin abordé le concept de transformation de l’armée. Le document pourrait devenir la base de changements nécessaires et inévitables, à condition qu’il y ait une volonté politique. La base du système de sécurité repose soit sur la politique étrangère, la démographie ou l’atmosphère politique intérieure. L’économie est restée le talon d’Achille en 2024. L’échec de la diversification de l’économie — l’accent mis sur la construction, le secteur des services, le tourisme et les monopoles russes en Arménie — ainsi que l’absence d’une industrie produisant des produits compétitifs, à la fois en 2024 et entre 2018 et 2024, est un échec. Le principal accomplissement reste la présentation du projet de loi à l’Assemblée nationale pour entamer le processus d’adhésion à l’UE. Cela a également recueilli davantage de signatures de citoyens. Ce n’est pas seulement une initiative de plusieurs partis et de la société politique, mais aussi une opportunité pour le gouvernement, en tenant compte de l’avis du public, de faire le choix nécessaire et inévitable à l’avance, ce qui, en cas de travail ciblé, assurera l’augmentation de la résistance pour la sécurité militaire, politique, économique, éducative, énergétique, démographique et les perspectives de développement de l’Arménie. - Quelles sont vos espérances et attentes pour l’Arménie en 2025 ? Anahit Adamyan : L’architecture de la sécurité mondiale a changé depuis la fin du 20e siècle et le début du 21e siècle. Dans notre période de changements tectoniques et de turbulences, le problème de l’Arménie reste le même : l’autopréservation et le développement en tant qu’État souverain. Les événements de 2020 et ceux qui ont suivi ont prouvé que nous avons besoin de vrais alliés avec des intérêts communs, et avec ces vrais alliés, nous devons avoir une base légale et contractuelle pour la coopération, c’est-à-dire des accords de coopération militaire-politique, économique, énergétique et culturelle, ainsi que la volonté politique de mettre en œuvre ces accords. Ce n’est qu’avec le soutien de vrais amis et alliés qu’en 2020, aucune guerre contre l’Arménie n’a commencé. Espérons que 2025 se passera également dans la paix, et non seulement qu’il n’y aura pas de nouvelles agressions, mais aussi que l’Arménie abandonnera enfin la politique d’équilibre dangereuse, fera un choix civilisationnel en faveur du développement, et quittera enfin l’OTSC, qui n’a jamais été une alliance politico-militaire depuis sa création, mais le corset de la Russie pour les États membres, les contraignant à d’autres options pour assurer leur sécurité : l’adhésion à l’OTAN ou aux États-Unis, sous la forme de la signature d’alliances politico-militaires avec l’UE et les États asiatiques, l’équipement de leurs armées avec des armes modernes et en suivant la stratégie de la guerre du 21e siècle. L’OTSC et l’UEEA étaient et sont des corsets avec lesquels la Russie a contraint tout développement et changement dans les États membres pour les maintenir dans sa sphère d’influence. Si nous voulons augmenter le niveau de souveraineté, dans l’économie réelle — l’afflux de nouvelles technologies et investissements, les changements dans la structure de l’économie — nous devons créer des prérequis adéquats pour quitter l’UEEA, qui est une structure politique et non économique tout comme l’OTSC. - Dans le contexte des développements géopolitiques, comment l’Arménie devrait-elle se positionner ? Anahit Adamyan : Comprendre la logique et la direction des développements géopolitiques est fondamental. Mais il est également essentiel d’avoir un plan en cas de tout développement. Pour cela, un centre d’analyse géopolitique aurait dû être créé en Arménie il y a longtemps, où les informations liées aux développements mondiaux seraient collectées et analysées afin de comprendre les risques et les opportunités et de cibler les politiques externes et de construire des politiques internes. Le 21e siècle a changé la nature des guerres. Les guerres hybrides de facto ne commencent pas seulement pour se défendre contre ces guerres, mais utilisent aussi les outils de la guerre hybride pour protéger leurs intérêts. Cela est possible et nécessaire pour que tous les prérequis de 2025 soient une année d’opportunités et de succès pour l’Arménie, si les risques sont gérés et corrigés, des étapes ciblées sont entreprises et il y a une volonté politique. En tant qu’année précédant les élections parlementaires de 2026, 2025 sera également un point de repère pour les décisions populistes du gouvernement. Espérons que, même sous le signe du populisme, le développement de l’économie réelle sera significatif, des changements structurels seront réalisés, l’industrie sera enfin relancée et de nouveaux emplois seront créés. Le changement dans le niveau de vie des Arméniens statistiques empêchera l’émigration et contribuera à former une image démographique favorable. Notre problème majeur sera le renforcement de la souveraineté pendant de nombreuses années, mais ce processus ne peut être effectué par à-coups. Nous avons besoin d’un plan et d’un mécanisme précis pour sa mise en œuvre. Ce n’est que dans ces conditions que l’Arménie pourra restaurer l’équilibre des puissances dans la région et stopper le danger de guerre. Nous devons faire un choix décisif en faveur de la sécurité et du développement. Le statut de “ni paix, ni guerre” avec ses dérivés a conduit à la défaite en 2020, et le temps des changements et des victoires est venu. Nous devons léguer un État sûr, sécurisé et prometteur à nos enfants, que nous n’avons pas reçu de nos grands-pères ou de nos pères. Hayk Magoyan
Bilan de 2024 et Perspectives pour 2025 : L’Arménie entre Sécurité, Développement et Souveraineté
Par Anahit Adamyan, membre du conseil politique du parti “République”
Même en 2024, l’économie est restée le talon d’Achille du pays
Anahit Adamyan
L’interlocutrice de Radar Armenia est Anahit Adamyan, membre du conseil politique du parti “République”.
- Comment évaluez-vous l’année écoulée 2024 pour l’Arménie ? Quel a été, selon vous, l’accomplissement le plus important de cette année et la plus grande omission ?
Anahit Adamyan :
L’année 2024 a été difficile et controversée à l’échelle mondiale. Malheureusement, les anciennes guerres ont continué, et de nouvelles ont émergé au Moyen-Orient. La paix, en tant que condition préalable à la prospérité, n’a toujours pas de perception mondiale.
Pour l’Arménie, 2024 a été une année de paix, ce qui est le plus important, mais la région reste dans un état de “ni paix ni guerre”, ce qui nous oblige à garantir la sécurité avant tout. La sécurité est un système dont les composants sont égaux, importants, vitaux et complémentaires.
En 2024, le ministère de la Défense a enfin abordé le concept de transformation de l’armée. Le document pourrait devenir la base de changements nécessaires et inévitables, à condition qu’il y ait une volonté politique.
La base du système de sécurité repose soit sur la politique étrangère, la démographie ou l’atmosphère politique intérieure. L’économie est restée le talon d’Achille en 2024. L’échec de la diversification de l’économie — l’accent mis sur la construction, le secteur des services, le tourisme et les monopoles russes en Arménie — ainsi que l’absence d’une industrie produisant des produits compétitifs, à la fois en 2024 et entre 2018 et 2024, est un échec.
Le principal accomplissement reste la présentation du projet de loi à l’Assemblée nationale pour entamer le processus d’adhésion à l’UE. Cela a également recueilli davantage de signatures de citoyens. Ce n’est pas seulement une initiative de plusieurs partis et de la société politique, mais aussi une opportunité pour le gouvernement, en tenant compte de l’avis du public, de faire le choix nécessaire et inévitable à l’avance, ce qui, en cas de travail ciblé, assurera l’augmentation de la résistance pour la sécurité militaire, politique, économique, éducative, énergétique, démographique et les perspectives de développement de l’Arménie.
- Quelles sont vos espérances et attentes pour l’Arménie en 2025 ?
Anahit Adamyan :
L’architecture de la sécurité mondiale a changé depuis la fin du 20e siècle et le début du 21e siècle. Dans notre période de changements tectoniques et de turbulences, le problème de l’Arménie reste le même : l’autopréservation et le développement en tant qu’État souverain.
Les événements de 2020 et ceux qui ont suivi ont prouvé que nous avons besoin de vrais alliés avec des intérêts communs, et avec ces vrais alliés, nous devons avoir une base légale et contractuelle pour la coopération, c’est-à-dire des accords de coopération militaire-politique, économique, énergétique et culturelle, ainsi que la volonté politique de mettre en œuvre ces accords.
Ce n’est qu’avec le soutien de vrais amis et alliés qu’en 2020, aucune guerre contre l’Arménie n’a commencé.
Espérons que 2025 se passera également dans la paix, et non seulement qu’il n’y aura pas de nouvelles agressions, mais aussi que l’Arménie abandonnera enfin la politique d’équilibre dangereuse, fera un choix civilisationnel en faveur du développement, et quittera enfin l’OTSC, qui n’a jamais été une alliance politico-militaire depuis sa création, mais le corset de la Russie pour les États membres, les contraignant à d’autres options pour assurer leur sécurité : l’adhésion à l’OTAN ou aux États-Unis, sous la forme de la signature d’alliances politico-militaires avec l’UE et les États asiatiques, l’équipement de leurs armées avec des armes modernes et en suivant la stratégie de la guerre du 21e siècle.
L’OTSC et l’UEEA étaient et sont des corsets avec lesquels la Russie a contraint tout développement et changement dans les États membres pour les maintenir dans sa sphère d’influence.
Si nous voulons augmenter le niveau de souveraineté, dans l’économie réelle — l’afflux de nouvelles technologies et investissements, les changements dans la structure de l’économie — nous devons créer des prérequis adéquats pour quitter l’UEEA, qui est une structure politique et non économique tout comme l’OTSC.
- Dans le contexte des développements géopolitiques, comment l’Arménie devrait-elle se positionner ?
Anahit Adamyan :
Comprendre la logique et la direction des développements géopolitiques est fondamental. Mais il est également essentiel d’avoir un plan en cas de tout développement. Pour cela, un centre d’analyse géopolitique aurait dû être créé en Arménie il y a longtemps, où les informations liées aux développements mondiaux seraient collectées et analysées afin de comprendre les risques et les opportunités et de cibler les politiques externes et de construire des politiques internes.
Le 21e siècle a changé la nature des guerres. Les guerres hybrides de facto ne commencent pas seulement pour se défendre contre ces guerres, mais utilisent aussi les outils de la guerre hybride pour protéger leurs intérêts.
Cela est possible et nécessaire pour que tous les prérequis de 2025 soient une année d’opportunités et de succès pour l’Arménie, si les risques sont gérés et corrigés, des étapes ciblées sont entreprises et il y a une volonté politique.
En tant qu’année précédant les élections parlementaires de 2026, 2025 sera également un point de repère pour les décisions populistes du gouvernement. Espérons que, même sous le signe du populisme, le développement de l’économie réelle sera significatif, des changements structurels seront réalisés, l’industrie sera enfin relancée et de nouveaux emplois seront créés.
Le changement dans le niveau de vie des Arméniens statistiques empêchera l’émigration et contribuera à former une image démographique favorable.
Notre problème majeur sera le renforcement de la souveraineté pendant de nombreuses années, mais ce processus ne peut être effectué par à-coups. Nous avons besoin d’un plan et d’un mécanisme précis pour sa mise en œuvre. Ce n’est que dans ces conditions que l’Arménie pourra restaurer l’équilibre des puissances dans la région et stopper le danger de guerre.
Nous devons faire un choix décisif en faveur de la sécurité et du développement. Le statut de “ni paix, ni guerre” avec ses dérivés a conduit à la défaite en 2020, et le temps des changements et des victoires est venu. Nous devons léguer un État sûr, sécurisé et prometteur à nos enfants, que nous n’avons pas reçu de nos grands-pères ou de nos pères.
Hayk Magoyan
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Par Anahit Adamyan, membre du conseil politique du parti “République”
Même en 2024, l’économie est restée le talon d’Achille du pays
Anahit Adamyan
L’interlocutrice de Radar Armenia est Anahit Adamyan, membre du conseil politique du parti “République”.
- Comment évaluez-vous l’année écoulée 2024 pour l’Arménie ? Quel a été, selon vous, l’accomplissement le plus important de cette année et la plus grande omission ?
Anahit Adamyan :
L’année 2024 a été difficile et controversée à l’échelle mondiale. Malheureusement, les anciennes guerres ont continué, et de nouvelles ont émergé au Moyen-Orient. La paix, en tant que condition préalable à la prospérité, n’a toujours pas de perception mondiale.
Pour l’Arménie, 2024 a été une année de paix, ce qui est le plus important, mais la région reste dans un état de “ni paix ni guerre”, ce qui nous oblige à garantir la sécurité avant tout. La sécurité est un système dont les composants sont égaux, importants, vitaux et complémentaires.
En 2024, le ministère de la Défense a enfin abordé le concept de transformation de l’armée. Le document pourrait devenir la base de changements nécessaires et inévitables, à condition qu’il y ait une volonté politique.
La base du système de sécurité repose soit sur la politique étrangère, la démographie ou l’atmosphère politique intérieure. L’économie est restée le talon d’Achille en 2024. L’échec de la diversification de l’économie — l’accent mis sur la construction, le secteur des services, le tourisme et les monopoles russes en Arménie — ainsi que l’absence d’une industrie produisant des produits compétitifs, à la fois en 2024 et entre 2018 et 2024, est un échec.
Le principal accomplissement reste la présentation du projet de loi à l’Assemblée nationale pour entamer le processus d’adhésion à l’UE. Cela a également recueilli davantage de signatures de citoyens. Ce n’est pas seulement une initiative de plusieurs partis et de la société politique, mais aussi une opportunité pour le gouvernement, en tenant compte de l’avis du public, de faire le choix nécessaire et inévitable à l’avance, ce qui, en cas de travail ciblé, assurera l’augmentation de la résistance pour la sécurité militaire, politique, économique, éducative, énergétique, démographique et les perspectives de développement de l’Arménie.
- Quelles sont vos espérances et attentes pour l’Arménie en 2025 ?
Anahit Adamyan :
L’architecture de la sécurité mondiale a changé depuis la fin du 20e siècle et le début du 21e siècle. Dans notre période de changements tectoniques et de turbulences, le problème de l’Arménie reste le même : l’autopréservation et le développement en tant qu’État souverain.
Les événements de 2020 et ceux qui ont suivi ont prouvé que nous avons besoin de vrais alliés avec des intérêts communs, et avec ces vrais alliés, nous devons avoir une base légale et contractuelle pour la coopération, c’est-à-dire des accords de coopération militaire-politique, économique, énergétique et culturelle, ainsi que la volonté politique de mettre en œuvre ces accords.
Ce n’est qu’avec le soutien de vrais amis et alliés qu’en 2020, aucune guerre contre l’Arménie n’a commencé.
Espérons que 2025 se passera également dans la paix, et non seulement qu’il n’y aura pas de nouvelles agressions, mais aussi que l’Arménie abandonnera enfin la politique d’équilibre dangereuse, fera un choix civilisationnel en faveur du développement, et quittera enfin l’OTSC, qui n’a jamais été une alliance politico-militaire depuis sa création, mais le corset de la Russie pour les États membres, les contraignant à d’autres options pour assurer leur sécurité : l’adhésion à l’OTAN ou aux États-Unis, sous la forme de la signature d’alliances politico-militaires avec l’UE et les États asiatiques, l’équipement de leurs armées avec des armes modernes et en suivant la stratégie de la guerre du 21e siècle.
L’OTSC et l’UEEA étaient et sont des corsets avec lesquels la Russie a contraint tout développement et changement dans les États membres pour les maintenir dans sa sphère d’influence.
Si nous voulons augmenter le niveau de souveraineté, dans l’économie réelle — l’afflux de nouvelles technologies et investissements, les changements dans la structure de l’économie — nous devons créer des prérequis adéquats pour quitter l’UEEA, qui est une structure politique et non économique tout comme l’OTSC.
- Dans le contexte des développements géopolitiques, comment l’Arménie devrait-elle se positionner ?
Anahit Adamyan :
Comprendre la logique et la direction des développements géopolitiques est fondamental. Mais il est également essentiel d’avoir un plan en cas de tout développement. Pour cela, un centre d’analyse géopolitique aurait dû être créé en Arménie il y a longtemps, où les informations liées aux développements mondiaux seraient collectées et analysées afin de comprendre les risques et les opportunités et de cibler les politiques externes et de construire des politiques internes.
Le 21e siècle a changé la nature des guerres. Les guerres hybrides de facto ne commencent pas seulement pour se défendre contre ces guerres, mais utilisent aussi les outils de la guerre hybride pour protéger leurs intérêts.
Cela est possible et nécessaire pour que tous les prérequis de 2025 soient une année d’opportunités et de succès pour l’Arménie, si les risques sont gérés et corrigés, des étapes ciblées sont entreprises et il y a une volonté politique.
En tant qu’année précédant les élections parlementaires de 2026, 2025 sera également un point de repère pour les décisions populistes du gouvernement. Espérons que, même sous le signe du populisme, le développement de l’économie réelle sera significatif, des changements structurels seront réalisés, l’industrie sera enfin relancée et de nouveaux emplois seront créés.
Le changement dans le niveau de vie des Arméniens statistiques empêchera l’émigration et contribuera à former une image démographique favorable.
Notre problème majeur sera le renforcement de la souveraineté pendant de nombreuses années, mais ce processus ne peut être effectué par à-coups. Nous avons besoin d’un plan et d’un mécanisme précis pour sa mise en œuvre. Ce n’est que dans ces conditions que l’Arménie pourra restaurer l’équilibre des puissances dans la région et stopper le danger de guerre.
Nous devons faire un choix décisif en faveur de la sécurité et du développement. Le statut de “ni paix, ni guerre” avec ses dérivés a conduit à la défaite en 2020, et le temps des changements et des victoires est venu. Nous devons léguer un État sûr, sécurisé et prometteur à nos enfants, que nous n’avons pas reçu de nos grands-pères ou de nos pères.
Hayk Magoyan
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Terrorisme informationnel en Arménie : une manipulation orchestrée par le Kremlin par Hovsep Khurshudyan Les organisateurs et les exécutants du terrorisme informationnel en Arménie doivent être tenus pour responsables. Je le répète, cette nouvelle vague de terrorisme médiatique n’est pas un hasard. Elle est orchestrée depuis le Kremlin et vise à empêcher l’adoption par l’Assemblée nationale de la République d’Arménie de la loi sur l’adhésion de l’Arménie à l’Union européenne, initiée par la Plateforme démocratique. Il ne s’agit pas seulement de la diffusion de la vidéo bien connue, mais aussi de la propagation accélérée de fausses affirmations concernant un prétendu corridor via Meghri. Les menaces des responsables russes n’étaient qu’un prélude à cela. Le système judiciaire et les forces de l’ordre doivent montrer au Kremlin que l’Arménie est un État souverain et non une entité sans défense que n’importe qui peut manipuler à sa guise. La lustration non officielle est déjà en cours. Il ne reste plus qu’à lui donner force de loi et à neutraliser le vaste réseau d’agents du KGB.
Terrorisme informationnel en Arménie : une manipulation orchestrée par le Kremlin
par Hovsep Khurshudyan
Les organisateurs et les exécutants du terrorisme informationnel en Arménie doivent être tenus pour responsables.
Je le répète, cette nouvelle vague de terrorisme médiatique n’est pas un hasard. Elle est orchestrée depuis le Kremlin et vise à empêcher l’adoption par l’Assemblée nationale de la République d’Arménie de la loi sur l’adhésion de l’Arménie à l’Union européenne, initiée par la Plateforme démocratique.
Il ne s’agit pas seulement de la diffusion de la vidéo bien connue, mais aussi de la propagation accélérée de fausses affirmations concernant un prétendu corridor via Meghri. Les menaces des responsables russes n’étaient qu’un prélude à cela.
Le système judiciaire et les forces de l’ordre doivent montrer au Kremlin que l’Arménie est un État souverain et non une entité sans défense que n’importe qui peut manipuler à sa guise.
La lustration non officielle est déjà en cours. Il ne reste plus qu’à lui donner force de loi et à neutraliser le vaste réseau d’agents du KGB.
http://dlvr.it/THkSCs
par Hovsep Khurshudyan
Les organisateurs et les exécutants du terrorisme informationnel en Arménie doivent être tenus pour responsables.
Je le répète, cette nouvelle vague de terrorisme médiatique n’est pas un hasard. Elle est orchestrée depuis le Kremlin et vise à empêcher l’adoption par l’Assemblée nationale de la République d’Arménie de la loi sur l’adhésion de l’Arménie à l’Union européenne, initiée par la Plateforme démocratique.
Il ne s’agit pas seulement de la diffusion de la vidéo bien connue, mais aussi de la propagation accélérée de fausses affirmations concernant un prétendu corridor via Meghri. Les menaces des responsables russes n’étaient qu’un prélude à cela.
Le système judiciaire et les forces de l’ordre doivent montrer au Kremlin que l’Arménie est un État souverain et non une entité sans défense que n’importe qui peut manipuler à sa guise.
La lustration non officielle est déjà en cours. Il ne reste plus qu’à lui donner force de loi et à neutraliser le vaste réseau d’agents du KGB.
http://dlvr.it/THkSCs
Assassinat d’Ananiah Koudjanian, jeune religieux arménien, au Liban Un religieux arménien tué au Liban 02/02/2025 Le diocèse arménien du Liban, relevant du Catholicosat de la Grande Maison de Cilicie de l’Église apostolique arménienne, annonce qu’Ananiah Koudjanian, un jeune religieux de l’Église apostolique et pasteur spirituel de la région de la Bekaa, a été retrouvé assassiné aujourd’hui à son domicile dans la ville de Bsalim, au Liban. Le jeune religieux aurait très probablement été victime d’une attaque à caractère criminel. Le Premier ministre par intérim du Liban, Najib Mikati, s’est entretenu par téléphone avec le Catholicos Aram Ier de la Grande Maison de Cilicie pour lui présenter ses condoléances suite à l’assassinat d’Ananiah Koudjanian, l’un des jeunes membres de la communauté monastique d’Antélias.
Assassinat d’Ananiah Koudjanian, jeune religieux arménien, au Liban
Un religieux arménien tué au Liban
02/02/2025
Le diocèse arménien du Liban, relevant du Catholicosat de la Grande Maison de Cilicie de l’Église apostolique arménienne, annonce qu’Ananiah Koudjanian, un jeune religieux de l’Église apostolique et pasteur spirituel de la région de la Bekaa, a été retrouvé assassiné aujourd’hui à son domicile dans la ville de Bsalim, au Liban.
Le jeune religieux aurait très probablement été victime d’une attaque à caractère criminel.
Le Premier ministre par intérim du Liban, Najib Mikati, s’est entretenu par téléphone avec le Catholicos Aram Ier de la Grande Maison de Cilicie pour lui présenter ses condoléances suite à l’assassinat d’Ananiah Koudjanian, l’un des jeunes membres de la communauté monastique d’Antélias.
http://dlvr.it/THkRKy
Un religieux arménien tué au Liban
02/02/2025
Le diocèse arménien du Liban, relevant du Catholicosat de la Grande Maison de Cilicie de l’Église apostolique arménienne, annonce qu’Ananiah Koudjanian, un jeune religieux de l’Église apostolique et pasteur spirituel de la région de la Bekaa, a été retrouvé assassiné aujourd’hui à son domicile dans la ville de Bsalim, au Liban.
Le jeune religieux aurait très probablement été victime d’une attaque à caractère criminel.
Le Premier ministre par intérim du Liban, Najib Mikati, s’est entretenu par téléphone avec le Catholicos Aram Ier de la Grande Maison de Cilicie pour lui présenter ses condoléances suite à l’assassinat d’Ananiah Koudjanian, l’un des jeunes membres de la communauté monastique d’Antélias.
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samedi 1 février 2025
🇫🇷🇦🇲 Laurent Wauquiez nommé président du groupe d’amitié France-Arménie à l’Assemblée nationale
🇫🇷🇦🇲 Laurent Wauquiez nommé président du groupe d’amitié France-Arménie à l’Assemblée nationale
http://dlvr.it/THjgrB
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Vidéo des citoyens chantant “Karabakh” : l’Agence de sécurité nationale publie un communiqué Qui a publié la vidéo des citoyens chantant “Karabakh” ? Le NSS publie un communiqué 01/02/2025 En complément de sa déclaration du 31 janvier 2025, le Service national de sécurité (NSS) a publié un nouveau communiqué indiquant : “Le 30 janvier de cette année, une vidéo montrant un groupe de citoyens de la République islamique d’Iran sur la place de la République à Erevan a été diffusée sur Internet. À la suite de mesures opérationnelles et de renseignement complexes menées par le Service national de sécurité de la République d’Arménie, des données factuelles ont été obtenues indiquant que la vidéo largement diffusée sur Internet avait été publiée par G. B., directeur de l’ONG Centre indépendant d’études stratégiques, sur un compte Facebook du même nom. De plus, G. B. a accompagné la vidéo d’un message public utilisant les technologies de l’information et de la communication pour inciter et/ou promouvoir la haine et l’intolérance à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes pour des raisons politiques et sociales. Sur la base des données factuelles obtenues lors des mesures d’enquête complexes, une notification de crime présumé a été soumise au Comité d’enquête de la République d’Arménie en vertu de l’article 329, partie 2, paragraphe 3 du Code pénal arménien.” Rappelons que le NSS avait précédemment précisé que les personnes apparaissant dans la vidéo étaient en réalité des citoyens de la République islamique d’Iran.
Vidéo des citoyens chantant “Karabakh” : l’Agence de sécurité nationale publie un communiqué
Qui a publié la vidéo des citoyens chantant “Karabakh” ? Le NSS publie un communiqué
01/02/2025
En complément de sa déclaration du 31 janvier 2025, le Service national de sécurité (NSS) a publié un nouveau communiqué indiquant :
“Le 30 janvier de cette année, une vidéo montrant un groupe de citoyens de la République islamique d’Iran sur la place de la République à Erevan a été diffusée sur Internet.
À la suite de mesures opérationnelles et de renseignement complexes menées par le Service national de sécurité de la République d’Arménie, des données factuelles ont été obtenues indiquant que la vidéo largement diffusée sur Internet avait été publiée par G. B., directeur de l’ONG Centre indépendant d’études stratégiques, sur un compte Facebook du même nom. De plus, G. B. a accompagné la vidéo d’un message public utilisant les technologies de l’information et de la communication pour inciter et/ou promouvoir la haine et l’intolérance à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes pour des raisons politiques et sociales.
Sur la base des données factuelles obtenues lors des mesures d’enquête complexes, une notification de crime présumé a été soumise au Comité d’enquête de la République d’Arménie en vertu de l’article 329, partie 2, paragraphe 3 du Code pénal arménien.”
Rappelons que le NSS avait précédemment précisé que les personnes apparaissant dans la vidéo étaient en réalité des citoyens de la République islamique d’Iran.
http://dlvr.it/THjdL7
Qui a publié la vidéo des citoyens chantant “Karabakh” ? Le NSS publie un communiqué
01/02/2025
En complément de sa déclaration du 31 janvier 2025, le Service national de sécurité (NSS) a publié un nouveau communiqué indiquant :
“Le 30 janvier de cette année, une vidéo montrant un groupe de citoyens de la République islamique d’Iran sur la place de la République à Erevan a été diffusée sur Internet.
À la suite de mesures opérationnelles et de renseignement complexes menées par le Service national de sécurité de la République d’Arménie, des données factuelles ont été obtenues indiquant que la vidéo largement diffusée sur Internet avait été publiée par G. B., directeur de l’ONG Centre indépendant d’études stratégiques, sur un compte Facebook du même nom. De plus, G. B. a accompagné la vidéo d’un message public utilisant les technologies de l’information et de la communication pour inciter et/ou promouvoir la haine et l’intolérance à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes pour des raisons politiques et sociales.
Sur la base des données factuelles obtenues lors des mesures d’enquête complexes, une notification de crime présumé a été soumise au Comité d’enquête de la République d’Arménie en vertu de l’article 329, partie 2, paragraphe 3 du Code pénal arménien.”
Rappelons que le NSS avait précédemment précisé que les personnes apparaissant dans la vidéo étaient en réalité des citoyens de la République islamique d’Iran.
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