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lundi 14 février 2022

Communiqué de presse Le Mouvement Arménien: Réponse aux attaques du CCAF Chers membres de la communauté arménienne de France, Mardi 9 février 2022, nous avons appris que le commissaire aux affaires de la diaspora, Monsieur Zareh Sinanyan, représentant officiel de la Republique d'Arménie, n'était plus invité au repas du CCAF par la volonté des deux co-président du CCAF. Monsieur Sinanyan a prévu une visite de la diaspora en France, composée de plusieurs journées dans différentes villes, dont le dîner annuel du CCAF à Paris et des événements organisés par le Mouvement Arménien. Nous avons tous profondément été choqués d’apprendre que le CCAF réclamait une exclusivité territoriale comme on marchande une affaire commerciale, et nous trouvons cette attitude indigne. Nous tenons à soutenir le Gouvernement Arménien qui adopte la meilleure des attitudes à l’égard de sa diaspora en allant à sa rencontre, à travers son représentant Monsieur Zareh Sinanyan, que nous sommes heureux d’accueillir lors de sa tournée en France durant laquelle il va rencontrer des centaines d’associations et des milliers d’Arméniens. En toute transparence et face au courriel mensonger adressé par le CCAF à l'ensemble de ses membres, nous exerçons notre droit de réponse. Le Mouvement Arménien et son Président rejettent fermement toute responsabilité dans les relations que le CCAF souhaite entretenir avec l’Etat Arménien et ses représentants. Le Mouvement Arménien travaille maintenant depuis plusieurs mois à organiser une tournée du haut-commissaire, Zareh Sinanyan pour lui permettre de prendre connaissance de la situation de notre communauté en France. Une convention de partenariat global a été signée l'automne dernier entre notre organisation et le gouvernement arménien. Or, depuis ce jour, nous apprenons régulièrement que les responsables du CCAF effectuent un travail de sape auprès du gouvernement Pashinyan pour casser cet accord. Plusieurs tentatives de conciliation ont eu lieu avec Ara Toranian. En vain. Le Premier ministre a pourtant été clair avec le responsable du CCAF, qui se plaignait que ce document donne du crédit à notre organisation : le temps des monopoles féodaux est révolu. Toutes les initiatives de promotion de la cause arménienne ont droit de cité. Il a été proposé au CCAF de faire de même: d'autres conventions pourraient être signées. Or, le CCAF multiplie les pressions pour que les organisations soient exclues des protocoles d'ambassade à chaque événement. Heureusement, les élus français ne tombent pas dans ce jeu sournois et nous convient volontiers. Nous les-en remercions vivement. Nous remercions Monsieur Zareh Sinanyan de n'avoir pas cédé aux sommations des dirigeants du CCAF, car disons-le clairement, ce chantage exercé sur le gouvernement arménien est inacceptable. Par ailleurs, lorsqu’on n’a pas d’ambition politique inavouée, pour soi-même ou des forces plus obscures, on ne peut que se réjouir d’avoir une Arménie indépendante, qui souhaite se montrer rassembleuse en entretenant des relations avec l’ensemble des organisations qui composent la mosaïque de la communauté, c’est un gage de démocratie, de transparence et de proximité qui démontre l’esprit fraternel qui doit animer tout sentiment communautaire. Ceux qui ne se sentent pas représentés par le CCAF le font savoir par des initiatives de rassemblement de différentes sensibilités depuis maintenant quelques années, le Mouvement Armenien est l’une de ses initiatives, il en existe d’autres, un esprit sain acceptera volontiers la nécessité d’un organe national plus representif des différentes sensibilités que le CCAF a refusé d’accueillir jusque là. Il rend donc nécessaire que le combat de chacun d’entre nous consiste à faire entendre sa voix, et nous sommes de plus en plus nombreux et de plus en plus forts dans nos initiatives respectives. Nous refuser la parole conduit à des rapports de force que personne ne souhaitait et qui sont devenus nécessaires pour la représentativité de nos sensibilités, lorsque le CCAF essaie de faire taire ses discidents et d’être le seul interlocuteur, il se comporte comme l’ancien regime arménien qui fut totalitaire. Faut-il s’en étonner lorsqu’on sait que Franck Mourad Papazian soutient ouvertement le retour de ses oligarques au pouvoir ? Faut-il s’étonner du totalitarisme du CCAF lorsque son bras armée médiatique est passé du stade de journal a celui d’un médiocre organe de propagande dans lequel de nombreux Arméniens de France convaincus du bien qu’ils font, sont dénigrés ou «blacklistés» lorsqu’ils ne sont pas dans le rang ? Le CCAF vient de franchir un nouveau cap en reconnaissant publiquement dans son précédent courrier interne, ses méthodes discriminatoires envers les organisations et personnes qui ne sont pas sous sa coupe. Le CCAF, qui joue contre le Gouvernement d'Arménie, se discrédite et n'a plus la légitimité pour revendiquer son exclusivité sur tous les événements en rapport avec l'Arménie. Nous regrettons le caractère sclérosé et non démocratique de cette organisation, inapte à mobiliser les jeunes et à construire l'avenir. Nous constatons que ses actions et sa gestion monopolistique de la diaspora arménienne est contraire à l'idée de libre entreprise, de démocratie et de pluralisme que nous défendons. La communauté arménienne de France est témoin des agissements des dirigeants du CCAF qui desservent l'intérêt général de l'Arménie et des Franco-Arméniens. Nous invitons les dirigeants du CCAF, qui ont préféré se retirer de la tournée du haut-commissaire, d’aller au bout de leur démarche, en se retirant définitivement pour laisser la place à une nouvelle génération prête à s’impliquer entièrement pour l’Arménie. https://www.facebook.com/100066739256139/posts/282867297281243/?d=n

Communiqué de presse Le Mouvement Arménien: Réponse aux attaques du CCAF Chers membres de la communauté arménienne de France, Mardi 9 février 2022, nous avons appris que le commissaire aux affaires de la diaspora, Monsieur Zareh Sinanyan, représentant officiel de la Republique d'Arménie, n'était plus invité au repas du CCAF par la volonté des deux co-président du CCAF. Monsieur Sinanyan a prévu une visite de la diaspora en France, composée de plusieurs journées dans différentes villes, dont le dîner annuel du CCAF à Paris et des événements organisés par le Mouvement Arménien. Nous avons tous profondément été choqués d’apprendre que le CCAF réclamait une exclusivité territoriale comme on marchande une affaire commerciale, et nous trouvons cette attitude indigne. Nous tenons à soutenir le Gouvernement Arménien qui adopte la meilleure des attitudes à l’égard de sa diaspora en allant à sa rencontre, à travers son représentant Monsieur Zareh Sinanyan, que nous sommes heureux d’accueillir lors de sa tournée en France durant laquelle il va rencontrer des centaines d’associations et des milliers d’Arméniens. En toute transparence et face au courriel mensonger adressé par le CCAF à l'ensemble de ses membres, nous exerçons notre droit de réponse. Le Mouvement Arménien et son Président rejettent fermement toute responsabilité dans les relations que le CCAF souhaite entretenir avec l’Etat Arménien et ses représentants. Le Mouvement Arménien travaille maintenant depuis plusieurs mois à organiser une tournée du haut-commissaire, Zareh Sinanyan pour lui permettre de prendre connaissance de la situation de notre communauté en France. Une convention de partenariat global a été signée l'automne dernier entre notre organisation et le gouvernement arménien. Or, depuis ce jour, nous apprenons régulièrement que les responsables du CCAF effectuent un travail de sape auprès du gouvernement Pashinyan pour casser cet accord. Plusieurs tentatives de conciliation ont eu lieu avec Ara Toranian. En vain. Le Premier ministre a pourtant été clair avec le responsable du CCAF, qui se plaignait que ce document donne du crédit à notre organisation : le temps des monopoles féodaux est révolu. Toutes les initiatives de promotion de la cause arménienne ont droit de cité. Il a été proposé au CCAF de faire de même: d'autres conventions pourraient être signées. Or, le CCAF multiplie les pressions pour que les organisations soient exclues des protocoles d'ambassade à chaque événement. Heureusement, les élus français ne tombent pas dans ce jeu sournois et nous convient volontiers. Nous les-en remercions vivement. Nous remercions Monsieur Zareh Sinanyan de n'avoir pas cédé aux sommations des dirigeants du CCAF, car disons-le clairement, ce chantage exercé sur le gouvernement arménien est inacceptable. Par ailleurs, lorsqu’on n’a pas d’ambition politique inavouée, pour soi-même ou des forces plus obscures, on ne peut que se réjouir d’avoir une Arménie indépendante, qui souhaite se montrer rassembleuse en entretenant des relations avec l’ensemble des organisations qui composent la mosaïque de la communauté, c’est un gage de démocratie, de transparence et de proximité qui démontre l’esprit fraternel qui doit animer tout sentiment communautaire. Ceux qui ne se sentent pas représentés par le CCAF le font savoir par des initiatives de rassemblement de différentes sensibilités depuis maintenant quelques années, le Mouvement Armenien est l’une de ses initiatives, il en existe d’autres, un esprit sain acceptera volontiers la nécessité d’un organe national plus representif des différentes sensibilités que le CCAF a refusé d’accueillir jusque là. Il rend donc nécessaire que le combat de chacun d’entre nous consiste à faire entendre sa voix, et nous sommes de plus en plus nombreux et de plus en plus forts dans nos initiatives respectives. Nous refuser la parole conduit à des rapports de force que personne ne souhaitait et qui sont devenus nécessaires pour la représentativité de nos sensibilités, lorsque le CCAF essaie de faire taire ses discidents et d’être le seul interlocuteur, il se comporte comme l’ancien regime arménien qui fut totalitaire. Faut-il s’en étonner lorsqu’on sait que Franck Mourad Papazian soutient ouvertement le retour de ses oligarques au pouvoir ? Faut-il s’étonner du totalitarisme du CCAF lorsque son bras armée médiatique est passé du stade de journal a celui d’un médiocre organe de propagande dans lequel de nombreux Arméniens de France convaincus du bien qu’ils font, sont dénigrés ou «blacklistés» lorsqu’ils ne sont pas dans le rang ? Le CCAF vient de franchir un nouveau cap en reconnaissant publiquement dans son précédent courrier interne, ses méthodes discriminatoires envers les organisations et personnes qui ne sont pas sous sa coupe. Le CCAF, qui joue contre le Gouvernement d'Arménie, se discrédite et n'a plus la légitimité pour revendiquer son exclusivité sur tous les événements en rapport avec l'Arménie. Nous regrettons le caractère sclérosé et non démocratique de cette organisation, inapte à mobiliser les jeunes et à construire l'avenir. Nous constatons que ses actions et sa gestion monopolistique de la diaspora arménienne est contraire à l'idée de libre entreprise, de démocratie et de pluralisme que nous défendons. La communauté arménienne de France est témoin des agissements des dirigeants du CCAF qui desservent l'intérêt général de l'Arménie et des Franco-Arméniens. Nous invitons les dirigeants du CCAF, qui ont préféré se retirer de la tournée du haut-commissaire, d’aller au bout de leur démarche, en se retirant définitivement pour laisser la place à une nouvelle génération prête à s’impliquer entièrement pour l’Arménie. https://www.facebook.com/100066739256139/posts/282867297281243/?d=n
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