Rechercher dans ce blog

lundi 10 mars 2025

La nouvelle direction russophile de la FRA Le 10 mars 2025, la FRA a tenu une conférence de presse au centre “Khristapor Mikaelyan”, dirigée par Armen Roustamian, avec Hakob Bagratuni et Lilit Galstyan. Lilit Galstyan a exprimé sa gratitude envers la place accordée aux femmes au sein du Bureau, avant de lire la déclaration du 35e Congrès général de la FRA. Armen Roustamian, une fois de plus, a défendu une politique étrangère d’alignement inconditionnel avec Moscou, en insistant sur la nécessité de maintenir des relations stratégiques avec la Russie et l’Iran. Selon lui, l’Arménie doit renforcer ses alliances avec ces deux pays, tout en adoptant une posture de soumission qui ne laisse aucune place à l’indépendance stratégique. Dans cette logique, la FRA semble enfermée dans un cercle vicieux, incapable de s’émanciper de l’influence de la Russie, même lorsque celle-ci continue d’éroder les intérêts arméniens. Cette position témoigne d’un aveuglement face à la réalité géopolitique actuelle. En insistant sur une relation “irremplaçable” avec la Russie, la FRA oublie les faits : la Russie est un ennemi de l’Arménie, un pays qui ne reconnaît même pas ses frontières et laisse l’Azerbaïdjan agir en toute impunité. Cette alliance de façade avec Moscou ne sert qu’à affaiblir davantage l’Arménie, en la condamnant à une dépendance mortifère. L’obsession de la FRA pour la Russie ne fait que renforcer une politique d’isolement et d’inertie, incapable d’offrir des solutions concrètes aux défis actuels de l’Arménie. Plutôt que de défendre les intérêts du pays, la FRA se complaît dans une relation qui ne profite qu’à la Russie, tout en laissant l’Arménie dans une position de faiblesse face à ses ennemis directs. En conclusion, la Russie, en poursuivant cette stratégie, agit de concert avec l’Azerbaïdjan et la Turquie, dans un objectif clair de marginalisation de l’Arménie. L’alignement inconditionnel sur Moscou ne représente plus qu’un fardeau pour l’Arménie, un fardeau qui empêche le pays de se défendre et de se réinventer face aux véritables menaces géopolitiques. Accepter cette réalité, c’est faire le jeu de ceux qui cherchent à détruire l’Arménie, et qui ont déjà montré, par leurs actions, qu’ils ne reconnaissent aucune de ses frontières.

La nouvelle direction russophile de la FRA

Le 10 mars 2025, la FRA a tenu une conférence de presse au centre “Khristapor Mikaelyan”, dirigée par Armen Roustamian, avec Hakob Bagratuni et Lilit Galstyan. Lilit Galstyan a exprimé sa gratitude envers la place accordée aux femmes au sein du Bureau, avant de lire la déclaration du 35e Congrès général de la FRA.

Armen Roustamian, une fois de plus, a défendu une politique étrangère d’alignement inconditionnel avec Moscou, en insistant sur la nécessité de maintenir des relations stratégiques avec la Russie et l’Iran. Selon lui, l’Arménie doit renforcer ses alliances avec ces deux pays, tout en adoptant une posture de soumission qui ne laisse aucune place à l’indépendance stratégique. Dans cette logique, la FRA semble enfermée dans un cercle vicieux, incapable de s’émanciper de l’influence de la Russie, même lorsque celle-ci continue d’éroder les intérêts arméniens.

Cette position témoigne d’un aveuglement face à la réalité géopolitique actuelle. En insistant sur une relation “irremplaçable” avec la Russie, la FRA oublie les faits : la Russie est un ennemi de l’Arménie, un pays qui ne reconnaît même pas ses frontières et laisse l’Azerbaïdjan agir en toute impunité. Cette alliance de façade avec Moscou ne sert qu’à affaiblir davantage l’Arménie, en la condamnant à une dépendance mortifère.

L’obsession de la FRA pour la Russie ne fait que renforcer une politique d’isolement et d’inertie, incapable d’offrir des solutions concrètes aux défis actuels de l’Arménie. Plutôt que de défendre les intérêts du pays, la FRA se complaît dans une relation qui ne profite qu’à la Russie, tout en laissant l’Arménie dans une position de faiblesse face à ses ennemis directs.

En conclusion, la Russie, en poursuivant cette stratégie, agit de concert avec l’Azerbaïdjan et la Turquie, dans un objectif clair de marginalisation de l’Arménie. L’alignement inconditionnel sur Moscou ne représente plus qu’un fardeau pour l’Arménie, un fardeau qui empêche le pays de se défendre et de se réinventer face aux véritables menaces géopolitiques. Accepter cette réalité, c’est faire le jeu de ceux qui cherchent à détruire l’Arménie, et qui ont déjà montré, par leurs actions, qu’ils ne reconnaissent aucune de ses frontières.


http://dlvr.it/TJRDCn

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire